
L'instruction du Ps. 37 semble avoir été comprise. Le fidèle ne réclame plus le retranchement des méchants, qui lui a été expressément promis. Au lieu de s'irriter à cause de ceux qui font le mal, il sent profondément son propre péché (v. 4 à 6). En même temps il réalise qu'il est dans la main de Dieu qui le reprend et le châtie. Et c'est à Lui qu'il s'attend (v. 16). Il ne lui appartient pas de répondre lui-même à ceux qui le persécutent; encore moins de se venger. «Toi tu répondras, Seigneur, mon Dieu!»
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