Tragique solitude (223)

Bonjour mes amis, j’espère que vous allez bien, aujourd’hui je souhaite vous raconter une autre histoire, une nouvelle histoire qui est inspirée directement de la vie dans la nature
Elle s’appelle : Tragique solitude !
Sur une colline, dans la grande forêt équatoriale, vivait un troupeau de buffles.
Ils étaient connus pour leur amour mutuel : chaque jour, ils paissaient ensemble dans de magnifiques prairies
Il y avait aussi un lion qui rôdait autour de cette colline, à la recherche de sa proie.
Il savait qu’il était capable de tuer les buffles un à un, mais il avait peur d’en attaquer un seul pendant qu’ils étaient ensemble, car leurs cornes puissantes lui inspiraient de la terreur.
Alors il pensa : « Si seulement un de ces buffles pouvait s’éloigner du troupeau, je pourrais le tuer et je ferais un très bon festin. »

Ainsi, pendant plusieurs mois, il épia le troupeau. Il faisait les cent pas dans la forêt en passant près d’eux, mais il ne put jamais surprendre un buffle isolé. Ils s’aimaient les uns les autres et ils allaient, venaient et paissaient ensemble.

Un matin, un des buffles s’éveilla plus tôt que les autres et se mit à paître. Il fit ainsi plusieurs jours de suite. Finalement, l’un des grands frères l’accusa en disant :
—Pourquoi te lèves-tu plus tôt que nous ? Pour paître l’herbe la plus tendre et la plus savoureuse, n’est-ce pas ?

— Mais vous, les autres frères, vous vous levez si tard ! fût sa réponse.
Que vous importe si je me lève plus tôt ? L’herbe n’est-elle pas identique ?

Les autres buffles se campèrent sur leur point de vue en affirmant que la nourriture de choix était volée par leur frère.
Alors ils décidèrent de se séparer, chacun des buffles choisissant pour son pâturage l’une des collines environnantes.
Bientôt, les buffles se répandirent sur autant de collines qu’il y avait de buffles.
Quand le lion vit cela, il fut très satisfait. « C’est là ce que j’attendais depuis longtemps, » leur dit-il.

Il se mit en route et découvrit un des buffles isolé. Il le tua et fit un festin royal.
Puis il tua les neuf autres les uns après les autres, jusqu’à ce que le troupeau eût disparu.

N’est-ce pas la stratégie de l’ennemi de nos âmes qui veut nous séparer du troupeau de Dieu en nous disant :« Reste dans ta maison, tu es aussi bien que d’aller à l’église ! Son but est de nous décourager, nous isoler pour mieux nous dévorer ?
Regardons ce que dit le Psaume 133 versets 1 à 3. Le Psaume de l’un des Cantiques des degrés de David.

• « Voici, oh ! qu’il est agréable, qu’il est doux pour des frères de demeurer ensemble ! C’est comme l’huile précieuse qui, répandue sur la tête, descend sur la barbe, sur la barbe d’Aaron, qui descend sur le bord de ses vêtements. C’est comme la rosée de la montagne Hermon, qui descend sur les montagnes de Sion ; car c’est là que l’Éternel envoie la bénédiction, la vie, pour l’éternité.

Voulez-vous cette bénédiction ? La vie en abondance avec le Seigneur Jésus ! « La vie à toujours, ». C’est la bénédiction qui est par-dessus toutes les bénédictions ! Alors, j’ai un conseil à vous donner, cherchez cette communion fraternelle et vous serez tellement bien dans la présence des frères et sœurs. Que le Seigneur vous bénisse ! Et, à bientôt.

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Bonne écoute et bonne journée à chacun.