
— Je suis d’accord avec vous, répondit un estivant en vacances dans le village. Par exemple, regardez ce pauvre jardin plein de mauvaises herbes ; tout est sec ; la nature l’a plutôt malmené, ce jardin !
— On voit que vous ne connaissez pas son propriétaire : un paresseux, un ivrogne qui laisse tout aller chez lui.
— Peut-être, mais il ne commande ni au soleil, ni à la pluie, ce n’est pas lui qui fait pousser ses légumes.
— Pas d’accord avec vous, reprit le premier, c’est tout à fait sa faute. Le jardin d’à côté reçoit les mêmes pluies, le même soleil et voyez comme il est bien entretenu…
— Eh bien, mon cher, conclut l’étranger, il en est de même du monde. A qui la faute si au point de vue moral, il est à l’état sauvage ? A Dieu dont la belle création répondait exactement aux besoins de sa créature ? Ou à l’homme qui gâche stupidement ces ressources et a transformé cette terre en une véritable jungle ! L’homme pollue, dévaste et perpétue l’injustice sociale. Et tout cela sans fruits pour Dieu. Mais, il viendra un moment, où Dieu retirera aux descendants d’Adam l’administration de la terre et la confiera à Christ, le roi de l’univers. Alors, seulement règneront l’ordre, la paix et la justice dont l’homme ne peut jouir tant qu’il n’obéit pas à Dieu ».
Le Dieu vivant, qui a fait le ciel, la terre, la mer, et tout ce qui s’y trouve. Ce Dieu, dans les âges passés, a laissé toutes les nations suivre leurs propres voies, quoiqu’il n’ait cessé de rendre témoignage, Actes 14 : 15-17.
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